La Maison Hantée de la Famille Smurl

Moins célèbre qu’Amityville, La Maison Hantée (The Haunted) est un téléfilm de 1991 réalisé par Robert Mandel. Inspiré du livre The Hantise écrit par Robert Curran en 1986, ce téléfilm retrace les phénomènes terrifiants dont furent victimes les membres de la famille Smurl, en Pennsylvanie. Je vous propose de découvrir la vraie histoire de la famille Smurl, dont la maison était apparemment habitée par un démon.

Jack et Janet Smurl avaient grandi dans la région. Ils s’étaient rencontrés en 1967 et ils s’étaient mariés l’année suivante. Jack avait servi dans la marine puis il était devenu technicien en neuropsychiatrie. En 1972 les inondations provoquées par l’ouragan Agnes endommagèrent si gravement la maison que Jack et Janet occupaient à Wilkes-Barre qu’ils durent se résoudre à l’abandonner. L’année suivant, ils emménagèrent dans un duplex que les parents de Jack avaient acheté, dans la petite ville de Pittston, en Pennsylvanie. La maison avait été construite en 1896, et elle était située au 328 rue Chase, une rue calme d’un quartier résidentiel de la classe moyenne. Jack, Janet et leurs deux premières filles Dawn et Heather, occupaient la moitié gauche de la vieille demeure, alors que John et Mary vivaient dans la moitié droite. Les deux couples n’éprouvaient aucune difficulté à cohabiter ainsi et c’était même un plaisir pour eux d’être réunis sous le même toit. Ils formaient une famille heureuse, unie et très pieuse. Mais un an et demi après leur emménagement, leurs conditions de vie commencèrent à se détériorer.

La famille Smurl

En janvier 1974, une tâche étrange apparut sur le nouveau tapis du salon. Personne ne savait comment elle était arrivée là, et malgré tous les efforts de Janet, elle se révéla indélébile. Quelques temps plus tard, la télévision de Jack prit feu sans raison apparente et les conduites d’eau se mirent à fuir. Rien ne semblait pouvoir en venir à bout. Malgré les réparations successives, l’eau se remettait inexplicablement à couler.
Puis, un matin, Jack et Janet découvrirent que le nouveau lavabo et la baignoire qu’ils venaient tout juste d’installer étaient couverts de profondes rayures. Les boiseries de la salle de bain, qu’ils avaient rénovées, présentaient les mêmes profondes éraflures. Elles ressemblaient aux traces de griffures qu’aurait pu laisser un animal sauvage. Mais l’histoire commença véritablement en 1975 quand leur fille ainée, Dawn, affirma à plusieurs reprises avoir vu des gens flotter autour de son lit dans la chambre à coucher. Jack et Janet commencèrent alors à se demander si leur maison n’était pas hantée. En 1977, les manifestations se firent plus fréquentes. Les toilettes se vidaient que personne ne les utilise, les tiroirs s’ouvraient et se refermaient d’eux-mêmes, la radio s’allumait même lorsqu’elle était débranchée, le rocking-chair se balançait inexplicablement et des bruits de pas résonnaient en permanence dans les escaliers. La maison se remplissait fréquemment d’odeurs nauséabondes et Jack avait senti une main invisible le caresser à plusieurs reprises. Jack et Janet n’en pouvaient plus, ils étaient épuisés. Janet avait donné naissance à des jumelles, deux petites filles, Shannon et Carin, et ces problèmes incessants aggravaient leur lassitude.

En janvier 1985, la situation s’était encore dégradée. Un froid glacial s’abattait souvent sur la vieille demeure où résidait les deux familles et John et Mary, les parents de Jack, entendaient des mots grossiers et obscènes s’élever de l’appartement de leur fils et de leur belle-fille, alors qu’ils ne parlaient même pas. En février 1985, alors qu’elle faisait la lessive au sous-sol, Janet entendit quelqu’un l’appeler par son nom. Après avoir fouillé toute la maison en vain, elle réalisa que tout le monde était sorti. Elle avait toujours été seule. Deux jours plus tard, alors qu’un froid glacial s’abattait une nouvelle fois sur le duplex, ce qui devenait de plus en plus fréquent, Janet aperçut la silhouette brumeuse d’un homme en noir dans la cuisine. Aucun trait ne dessinait son visage. Quelques secondes plus tard, l’homme traversa la paroi et il apparut à Mary de l’autre côté du mur. A partir de ce moment-là, les manifestations paranormales gagnèrent en intensité et la situation devint ingérable. La nuit précédant la confirmation de la jeune Heather, qui avait alors 13 ans, un gros ventilateur se décrocha du plafond pour s’effondrer à quelques centimètres de sa sœur Shannon. Puis Janet se mit à léviter. Un soir, une puanteur extrême envahit la chambre parentale et Janet fut violemment extirpée de son lit par une force invisible. Jack, qui était couché près d’elle, assista impuissant à la scène, inexplicablement paralysé. Une nuit, pendant son sommeil, Shannon fut violemment tirée de son lit et trainée jusqu’en bas des escaliers. Simon, le berger allemand de la famille, fut soulevé et projeté dans les airs de nombreuses fois. Terrifié, le chien fugua à plusieurs reprises. Des grattements résonnaient en permanence dans les murs et les voisins des Smurl se plaignaient des bruits étranges et des cris qui s’élevaient de leur maison même quand celle-ci était déserte.

Ed et Lorraine Warren

Comme beaucoup de monde à cette époque, Janet avait déjà entendu parler d’Ed et Lorraine Warren, le célèbre couple d’enquêteurs du paranormal. Même si elle était sceptique quant à leurs possibilités, elle n’avait personne d’autre vers qui se tourner et en janvier 1986, elle décida de faire appel à leurs services. Les Warren se présentèrent au domicile des Smurl peu de temps après, accompagnés de Rosemary Frueh, qui était infirmière et médium. Ils questionnèrent le couple sur leurs croyances religieuses et sur leur vie de famille puis ils leur demandèrent s’ils avaient déjà pratiqué le satanisme ou l’occultisme, s’ils avaient déjà utilisé une planche de Ouija ou invité le surnaturel dans leur maison d’une façon ou d’une autre, ce qui n’était pas le cas. Les enquêteurs firent ensuite le tour de la maison et ils identifièrent le placard de la chambre comme étant le point de croisement entre les deux côtés du duplex. Après avoir inspecté les lieux, ils affirmèrent avoir détecté la présence de quatre mauvais esprits. Trois étaient des esprits mineurs, mais le quatrième était un démon. Comme il n’y avait eu aucun dysfonctionnement familial, aucune invitation occulte et aucune tragédie, les Warren supposèrent que le démon avait dû rester en sommeil durant des décennies et qu’il avait probablement été réveillé par l’énergie émotionnelle générée par les jeunes filles de la maison, lorsqu’elles étaient entrées en puberté. L’entité devait se nourrir de cette énergie.

Ed et Lorraine Warren tentèrent à deux reprises de faire partir le démon en jouant de la musique religieuse et en le confrontant à la prière mais leurs interventions parurent surtout attiser le courroux de l’entité démoniaque qui manifesta sa colère en secouant violemment un miroir et les tiroirs d’une commode. Sur ce même miroir, le démon écrivit d’ailleurs un message explicite à leur intention :
 » Vous les bâtards dégoutants, sortez de cette maison. (You filthy bastard, get out of this house) « . Au cours de ces deux séances, le démon, qui apparaissait sous la forme d’une masse brumeuse, infligea de nombreuses gifles et morsures à Jack et Janet et il tenta même d’étrangler Ed Warren, ce qui affecta sérieusement sa santé durant plusieurs jours. L’entité était particulièrement puissante et seules l’eau bénite et la prière semblaient calmer ses manifestations. Peu de temps après, Jack affirma avoir été sexuellement agressé par une succube. Il la décrivit comme une créature écailleuse, qui présentait le visage d’une vieille femme et le corps d’une jeune. Ses yeux étaient rouges et ses gencives vertes. Quelques jours plus tard, Janet rapporta avoir été violée par une silhouette sombre. Lors de cette attaque, elle avait entendu des grognements de porc résonner dans les murs, ce qui était un signe de grave infestation démoniaque selon Ed et Lorraine Warren.

Jack et Janet demandèrent le soutien de l’église à plusieurs reprises. Le diocèse catholique de Scranton leur déclara qu’il consulterait des experts mais qu’une participation officielle était peu probable. A un certain moment, Janet crut qu’elle allait recevoir de l’aide d’un prêtre nommé Père O’Leary mais elle s’aperçut par la suite qu’il n’existait aucun prêtre de ce nom. Les Warren amenèrent alors avec eux le Père McKenna, qui devint évêque par la suite, un prêtre traditionaliste qui refusait les changements de rituel mandatés par le second concile du Vatican. Il faisait la messe en latin et il avait déjà exercé plus de cinquante exorcismes pour les Warren. Le Père McKenna fit une tentative d’exorcisme en suivant l’ancien rituel, ce qui eut pour conséquence de déchaîner la fureur du démon. La jeune Carin tomba gravement malade. Une étrange fièvre faillit la faire mourir et sa sœur Dawn se fit pratiquement violée par la présence maléfique. Janet et Mary, quant à elles, présentaient de nombreuses marques de coups et de piqûres sur les bras. Toute la famille déprimait. Ed leur expliqua qu’ils en étaient à la deuxième étape de possession, l’oppression, qui suit l’infestation et qui est suivie par la possession et la mort. Vers la fin du printemps, McKenna effectua un second exorcisme, en vain. Le démon harcelait Jack au travail et il avait même accompagné les membres de la famille lorsqu’ils étaient partis camper dans les Poconos. Ils savaient maintenant que s’ils tentaient de changer de maison, la créature démoniaque les suivrait.

Jack, Shannon (en haut) et Carin (en bas) Smurl

Comme l’église refusait de leur venir en aide, les Smurl décidèrent de passer à la télévision, espérant ainsi recevoir quelques conseils. De manière anonyme, cachés derrière un écran, ils furent interviewés par Richard Bey au cours de son show  » People are Talking « . Apparemment, cet entretien ne fut pas du gout du démon. Lorsqu’ils rentrèrent chez eux, Janet fut immédiatement soulevée dans les airs et projetée contre un mur. Jack, qui allait avoir l’opportunité d’apercevoir l’entité par la suite, allait la décrire comme une créature monstrueuse qui ressemblait à un porc sur deux jambes. Un peu plus tard, durant la nuit, une main d’apparence humaine traversa le matelas et attrapa Janet par l’arrière du cou et Jack se fit une nouvelle fois agresser sexuellement par la succube.

En août 1986, malgré leur peur du ridicule, Jack et Janet Smurl estimèrent qu’ils devaient raconter leur histoire à un public plus large et ils accordèrent une interview à un journal de Wilkes-Barre, le Sunday Independent. Ils espéraient que quelqu’un, après avoir pris connaissance de leur histoire, serait en mesure de les aider. Immédiatement, leur maison devint une attraction touristique pour la presse, pour les spectateurs curieux, pour les sceptiques et pour tous ceux qui espéraient pouvoir y enquêter.

Paul Kurtz, professeur de philosophie et président du Committee for the Scientific Investigation of Claims of the Paranormal (CSICOP) se trouvait parmi eux. Il émit le souhait de procéder à une enquête, mais cette proposition, qui avait été acceptée par Jack et Janet, fut rejetée les Warren qui déclarèrent que le CSIOP avait déjà une idée préconçue de l’affaire, qu’ils pensaient que l’histoire était un canular et que leur présence était, par conséquent, malvenue. Il déclara alors que les Warren n’étaient pas des enquêteurs objectifs, indépendants et impartiaux et que l’histoire des Smurl était un  » canular, une mascarade, une histoire de fantômes « . Il prétendit également que les témoignages des Smurl pouvaient être la conséquence de délires, d’hallucinations ou de lésions cérébrales et il demanda à ce que les membres de la famille Smurl se soumettent à des examens psychologiques et psychiatriques. Par la suite, Kurtz écrivit dans le Skeptical Inquirer qu’il croyait que ça n’était pas une affaire ayant trait au paranormal et que c’était là la vraie raison pour laquelle on avait refusé de les laisser, lui et son équipes d’enquêteurs, entrer dans la maison. Les Smurl et les Warren avaient eu peur de ce qu’ils auraient pu découvrir. Parmi les sceptiques se trouvaient aussi certains des voisins des Smurl, qui déclarèrent que la famille montait une histoire afin de la vendre. Le porte-parole du diocèse de Scranton, quand à lui, déclara qu’ils ignoraient ce qui causait ces troubles.

Jack Smurl

Après l’échec des Warren, Jack et Janet contactèrent un médium, Mary Alice Rinkman, qui examina la maison et corrobora les conclusions des Warren. Comme eux, elle détectait quatre esprits. Le premier esprit était pour elle celui d’une vieille femme nommée Abigail et le second celui d’un homme sombre, moustachu, nommé Patrick qui avait tué sa femme et son amant avant d’être pendu par la foule. Elle fut incapable d’identifier le troisième mais le quatrième était à son avis un puissant démon. La couverture de l’affaire assurée par la presse finit par pousser le diocèse de Scranton à agir et ils offrirent alors de prendre en charge l’enquête.

De leur côté, Ed et Lorraine Warren avaient prévu un grand exorcisme avec plusieurs prêtres et un groupe de prière. Le père McKenna pratiqua donc un troisième exorcisme dans la maison et cette fois, le rituel parut être un succès. Il n’y eut plus aucune manifestation surnaturelle durant les trois mois qui suivirent. Peu avant Noël 1986, Jack aperçut une forme noire, ce qui semblait indiquer le début de la troisième phase de possession. Il saisit son chapelet et se mit à prier, espérant que cette apparition se révélerait un incident isolé. Malheureusement, les bruits étranges recommencèrent, tout comme les odeurs putrides, les actes de violence et les agressions. Jack et Janet devaient se rendre à l’évidence: le démon était de retour.

Les Smurl étaient fatigués du harcèlement constant des journalistes et des caméras de télévision et ils décidèrent de quitter la ville pour s’installer à Wilkes-Barre. Quelques mois plus tard, en collaboration avec Ed et Lorraine Warren, Robert Curran, un écrivain qui travaillait pour le journal de Scranton, publiait un livre racontant leur histoire: The Haunted, et la rumeur d’une mystification s’amplifia un peu plus. Pour certains, ce livre était la preuve que Jack et Janet avaient monté toute cette histoire pour se faire de l’argent. En 1988, l’église effectua un quatrième exorcisme, ce qui semble leur avoir enfin apporté la paix. Debra Owens, qui emménagea dans l’ancienne maison des Smurl la même année, déclara qu’elle n’avait jamais rien constaté de surnaturel là-bas.

L’histoire de la famille Smurl est sujette à polémique. Le fait qu’Ed Warren ait refusé de fournir la preuve des phénomènes surnaturels après avoir affirmé en posséder a attisé le feu de ses détracteurs (De nombreuses bandes audio auraient été enregistrées, sur lesquelles on pourrait entendre, par exemple, des grognements démoniaques). De plus, le démonologue aurait déclaré avoir donné cette preuve à une société de télévision ainsi qu’à l’église, qui a réfuté avoir reçu quoi que ce soit. Que s’est-il vraiment passé derrière les murs qui abritaient la famille Smurl? Il est, une fois encore, difficile de l’affirmer avec certitude.

Partager:
Subscribe
Me prévenir
guest
2 Commentaires
plus récent
plus vieux plus voté
Inline Feedbacks
View all comments
alexsendre
alexsendre
5 mois plus tôt

ok je confiir pour le mafia peuté quil laites

Lahcen
Lahcen
1 année plus tôt

Ed warren il ressemblait à un mafieux italien mdr ! Histoire étrange, captivante et bien racontée , merci beaucoup !

Privacy & Cookie policy
Privacy & Cookies policy
Cookie name Active
eu_cookies_bar
eu_cookies_bar_block

Merci de lire avec attention les différentes modalités d’utilisation du présent site avant d’y parcourir ses pages. En vous connectant sur ce site, vous acceptez sans réserves les présentes modalités. Aussi, conformément à l’article n°6 de la Loi n°2004-575 du 21 Juin 2004 pour la confiance dans l’économie numérique, les responsables du présent site internet www.mindshadow.fr sont :

Éditeur du Site :

Marie Alsina Email : Djaseve@mindshadow.fr Site Web : www.mindshadow.fr Hébergement : Hébergeur : OVH 2 rue Kellermann 59100 Roubaix France

Conditions d’utilisation :

Ce site est proposé en différents langages web (HTML, HTML5, Javascript, CSS, etc…) pour un meilleur confort d’utilisation et un graphisme plus agréable, nous vous recommandons de recourir à des navigateurs modernes comme Internet explorer, Safari, Firefox, Google Chrome, etc…

Mindshadow.fr met en œuvre tous les moyens dont elle dispose, pour assurer une information fiable et une mise à jour fiable de ses sites internet. Toutefois, des erreurs ou omissions peuvent survenir. L’internaute devra donc s’assurer de l’exactitude des informations, et signaler toutes modifications du site qu’il jugerait utile. Mindshadow n’est en aucun cas responsable de l’utilisation faite de ces informations, et de tout préjudice direct ou indirect pouvant en découler.

Cookies : Le site www.mindshadow.fr peut-être amené à vous demander l’acceptation des cookies pour des besoins de statistiques et d’affichage. Un cookies est une information déposée sur votre disque dur par le serveur du site que vous visitez. Il contient plusieurs données qui sont stockées sur votre ordinateur dans un simple fichier texte auquel un serveur accède pour lire et enregistrer des informations . Certaines parties de ce site ne peuvent être fonctionnelles sans l’acceptation de cookies.

Liens hypertextes : Les sites internet de peuvent offrir des liens vers d’autres sites internet ou d’autres ressources disponibles sur Internet. Le site Mindshadow.fr ne dispose d’aucun moyen pour contrôler les sites en connexion avec ses sites internet, et ne répond pas de la disponibilité de tels sites et sources externes, ni ne la garantit. Il ne peut être tenu pour responsable de tout dommage, de quelque nature que ce soit, résultant du contenu de ces sites ou sources externes, et notamment des informations, produits ou services qu’ils proposent, ou de tout usage qui peut être fait de ces éléments. Les risques liés à cette utilisation incombent pleinement à l’internaute, qui doit se conformer à leurs conditions d’utilisation.

Services fournis :

Mindshadow s’efforce de fournir des informations aussi précises que possible. Les renseignements figurant sur le site ne sont pas exhaustifs, et les photos non contractuelles. Ils sont donnés sous réserve de modifications ayant été apportées depuis leur mise en ligne. Par ailleurs, tous les informations sont données à titre indicatif, et sont susceptibles de changer ou d’évoluer sans préavis.

Limitation contractuelles sur les données :

Les informations contenues sur ce site sont aussi précises que possible et le site remis à jour à différentes périodes de l’année, mais peut toutefois contenir des inexactitudes ou des omissions. Si vous constatez une lacune, erreur ou ce qui parait être un dysfonctionnement, merci de bien vouloir le signaler par email, à l’adresse Djaseve@mindshadow.fr, en décrivant le problème de la manière la plus précise possible (page posant problème, type d’ordinateur et de navigateur utilisé, …).

Tout contenu téléchargé se fait aux risques et périls de l’utilisateur et sous sa seule responsabilité. En conséquence, ne saurait être tenu responsable d’un quelconque dommage subi par l’ordinateur de l’utilisateur ou d’une quelconque perte de données consécutives au téléchargement. De plus, l’utilisateur du site s’engage à accéder au site en utilisant un matériel récent, ne contenant pas de virus et avec un navigateur de dernière génération mis-à-jour.

Les liens hypertextes mis en place dans le cadre du présent site internet en direction d’autres ressources présentes sur le réseau Internet ne sauraient engager la responsabilité de Mindshadow.

Propriété intellectuelle :

Tout les textes ainsi que leur mise en forme sont la propriété exclusive de Mindshadow, à l’exception des contenus appartenant à d’autres partenaires ou auteurs.

Toute reproduction, distribution, modification, adaptation, retransmission ou publication, même partielle, de ces différents éléments est strictement interdite sans l’accord exprès par écrit de Mindshadow.fr. Cette représentation ou reproduction, par quelque procédé que ce soit, constitue une contrefaçon sanctionnée par les articles L.335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle. Le non-respect de cette interdiction constitue une contrefaçon pouvant engager la responsabilité civile et pénale du contrefacteur. En outre, les propriétaires des Contenus copiés pourraient intenter une action en justice à votre encontre.

Données personnelles :

De manière générale, vous n’êtes pas tenu de nous communiquer vos données personnelles lorsque vous visitez notre site Internet www.mindshadow.fr.

Cependant, ce principe comporte certaines exceptions. En effet, pour certains services proposés par notre site, vous pouvez être amenés à nous communiquer certaines données telles votre adresse électronique, votre nom ou votre prénom. Tel est le cas lorsque vous remplissez le formulaire qui vous est proposé en ligne, dans la rubrique « contact ».

Dans tous les cas, vous pouvez refuser de fournir vos données personnelles. Dans ce cas, vous ne pourrez pas utiliser les services du site, notamment celui de solliciter des renseignements, ou de recevoir les lettres d’information.

Enfin, nous pouvons collecter de manière automatique certaines informations vous concernant lors d’une simple navigation sur notre site Internet, notamment : des informations concernant l’utilisation de notre site, comme les zones que vous visitez et les services auxquels vous accédez, votre adresse IP, le type de votre navigateur, vos temps d’accès.

De telles informations sont utilisées exclusivement à des fins de statistiques internes, de manière à améliorer la qualité des services qui vous sont proposés. Les bases de données sont protégées par les dispositions de la loi du 1er juillet 1998 transposant la directive 96/9 du 11 mars 1996 relative à la protection juridique des bases de données.

Save settings